Toutes les histoires d'amour se finissent bien...

 

 

 

Il y a un lieu réconfortant où il est bon de faire une bonne pause pour se recharger les batteries...

 

MONTAGE d'Eveline GALLET, Eric LE ROUX et Vincent MARTIN

PHOTOGRAPHIE  : Eric LE ROUX

NARRATION : Alain GELOEN, Myriam MARTEL et Jean-Pierre ARMAND

MUSIQUE : Dvorak, Pierre PERRET, Miles Davis et les Frères Jacques

VIDEO : Alfred HITCHCOCK

REMERCIEMENTS : Francis MOREAU et Edouard MAJ

 

 

 


 

 

 

Genèse

Un jour, un ami me demanda si je pouvais lui rendre un service... aller rechercher son appareil photo qui était en réparation dans un atelier lyonnais. Ami de longue date et tous deux amoureux de la photographie, je m'appliquai à rendre ce service avec une certaine curiosité... Et comment, à peine rentrer dans l'atelier qu'un petit bonhomme m'invite à s'assoir comme pour ouvrir la discussion. Pourtant mon regard ne pouvait se fixer. L'atelier regorge de points d'accroche, une chambre ici, un vieil appareil par là, une photographie d'un réalisateur connu etc.... C'était comme le cabinet des curiosités.

 

C'était comme une évidence pour nous. Ce lieu et ce personnage devait intégrer notre projet mettant en valeur des personnages et lieux atypiques de Lyon et qui s'intitulait "A l'ombre de Lugdunum". Monsieur Maj accepta bien gentiment et accepta que nous allions prendre des photo en son atelier.  C'est alors que notre photographe, Eric Le Roux découvrit le lieu avec son appareil photo.

 

Pour le montage, nous voulions aller au bien delà du simple reportage. L'idée de départ fut vitre trouvée. Des images d'appareils sur les étagères et le tenant des lieux invitant à s'assoir comme chez le médecin. Rien de tel pour nous inspirer. Les appareils seront nos acteurs, l'ambiance médicale et le vocabulaire que pourraient usiter nos appareils photo notre fil conducteur.

 

Sure que quand nous sommes chez le réparateur ou le docteur, c'est pour être réparé d'une maladie grave. Peut-être inspirée de notre dernière exposition collective "Le regard d'Holga", Eveline l'avait bien compris. On va chez Majirep pour guérir de la maladie d'amour. Après réflexion, nous nous enfonçons dans cette voie et enrichissons les textes avec le maximum de vocabulaire issu de la photographie.

 

Et comme notre histoire d'amour se devaient être un happy-end... il y avait plus qu'a trouver le plus long baiser du cinéma...

 

 

 

Extrait photo

 

Entrez donc

File d'attente

 

Top con

 

Le magicien

L'atelier

 

A la bonne focale

 

Avec la pince

Lumière

 

Holga

Rêve tout distordus

Filtre d'amour, cokin n°59

 

Happy end

 

 

 

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Texte et photographies © Vincent Martin (photomavi.com)